Paru le 30 août dans la Dépêche
Cet article, tiré de l’expérience d’un adhérent de l’association des Moulins du Lot et du Quercy, montre les effets pervers de la destruction des chaussées, des systèmes hydrauliques anciens.
cliquez sur les vignettes (photos) la photo de la chaussée de Cap d’Aze en 1997, puis quelques photos du 10 août 2020. Commentaire d’André Bressanges :
< Photo de la chaussée de Cap d’Aze, qui doit être détruite.
“Quand on voit le Lemboulas à sec comme un chemin empierré suite à la casse des vannes de cette chaussée par le syndicat du Lemboulas, il n’y a plus aucun argument qui tienne en faveur de la destruction des chaussées.
Mon canal d’amenée sur la Lupte, n’avait baissé que d’une quinzaine de cm cet été, et les drains de part et d’autre alimentaient la rivière. La faune et la flore aquatique ont été préservées.
Par ces temps de sècheresse, il n’y a pas photo entre un moulin avec sa chaussée et ses vannes et un moulin cassé par les syndicats de rivières obéissant aux DDT.”
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